Après avoir lu la réponse sincère d Albéric en mp je reconnais que mon interprétation était faussée. Ouf, tout se termine humainement au mieux et me confirme que je dois perseverer à continuer à apprendre à mieux maitriser certaines de mes vives émotions ;-)

Biz Albéric.

Beau we à toutes et tous et bonnes vacancespour les plus chancheux,

Stéphane

Très cher Stefffffffff !!!

Un petit mot en musique Tzigane : Lulu Weiss un alsacien !



te souhaite un bon we !!

te bise fort

Bonsoir à vous ami(e)s virtuel(le)s lecteurs, alcoolisé(e)s ou sobres, peut m'importe,

Le craving me rattrape insidieusement. Pas encore violemment. Mais, je me dois, d’expériences douloureuses passées de malade alcoolo dépendant, d'être très vigilant désormais !!! Expérimenté de presque deux ans de traitement baclofène et de suivi médical sérieux, plus en alcoologie, en psychiatrie, pour maladie alcoolo dépendante.

J'en ai compris les causes. De ce retour aux guinness pas encore quotidien. Je corrige. J'acte, je prends les bonnes décisions humaines et matérielles.
J'augmente mon baclo. Prochain rdv médical baclo le 4 août.

En attendant, ma nouvelle indifférence totale, la 3éme, je tente humblement de tout analyser, comprendre, pour ne plus reproduire !!!

Le baclofène n'est pas un long fleuve, tout comme l'existence, pour mon organisme, mon âme?, malade, en souffrance parfois.

Les maladies addictives portent le sceau d'une difficulté accentuée à la guérison pour le patient.
Certains doc, prescripteurs en ont une conscience accrue. Ceux là, m'inspirent plus de confiance à m'élever vers mes guérisons.

Sinon, tout patient, surtout traité au baclofène, possède principalement en lui les voi(x)es de sa guérison, de ses réussites, à petits pas pour nous, envers nos maladies d'alcoolo dépendance.

Bréfle (suis là, je l'ai piqué à Gaday, merci à toi Stéphane) fondamentalement, malgré de nouvelles difficultés mineures que j'aurai souhaité éviter face à la bière brune, je vais bien meiux qu'à mon arrivée par ici en septembre 2012. Mon traitement baclofène à fait son taf de manière bien efficace face à ma maladie d'alcoolo dépendante :-)))))

Je vous embrasse, vous toutes et tous mes lecteurs,

Stéphane

Ps :

TRès cher Stefffff

Que se passe t il pour que ton Craving revienne insidieusement ? ???????

As tu fait une baisse de Baclo ?

Aurais tu des pressions extérieures (je ne sais) ???

Où en es tu aujourd'hui ?

Viens vite nous dire ..
Nous sommes là pour t'aider !
N'oublie pas ...

Gros bisous et
à te lire

Tu es toujours à 160 ou as tu refait une de ses baisses folles qui te coincent à chaque fois?

Bonjour à toutes et tous,

Mimi, Lee, merci.
Pas d inquiétudes, mon organisme se recadre correctement à 10 cachets/jour.

J étais descendu progressivement à 70mg.

Mon objectif est toujours le 0 baclo (abstinence?) à terme ...

Stéphane

Le zéro Baclo, à long terme pourquoi pas, mais là tu prends des risques.
Bon, remontée a 100, que celle ci t'apporte de l'apaisement et surtout reste Zen.
Tout viendra Stéf.
Bises

Un baiser en passant Stéph

et une petite chanson
https://www.google.fr/url?sa=t....71778758,d.d2k

Paul Tilich - Le courage d'être :

"Sans une crainte qui anticipe et une angoisse qui contraint, aucun être fini ne saurait exister.
Que les avertissements de la crainte n'aient plus d'effet ou que le dynamisme du courage ait perdu de sa puissance,
alors la vie disparaît."

Plus loin, dans le texte, le terme d'autodestruction est employé.

A méditer? Certainement.

Hello
Expérience réalisée sur les rats
C'est vrai
Il nous faut des stimuli positifs ou négatifs
Sans stimuli
Nous nous laissons mourrir, nous sommes plus sujets a la maladie et a la depression
Bise steph
Te connais pas , l'intention est bonne

Très cher Stefffffff

Je quote Lee :



Faut déjà être sûr de vouloir être sobre, abstinent durant un temps certain (relatif) !
Savoir que si un soir tu fêtes, ça sera niet des jours et des jours .....
Je le pratique depuis quasi 2 ans en Aoüt .

Alors comme dit Lee, si le 100 te rend bien .....restez y encore un peu.

Car j'imagine que la chute doit être terrible !

Je t'embrasse fort

Mimi

Très, très, voir aux sommets, somnolents pour le moment de mes spontanéités (capacités?) musicales et autres :



AIDER, le tenter, l'entraide, pour les nouveaux, les désespérés du genre dont j'étais en arrivant par ici, plus trop le temps !!!
Conseiller sur la poso, l'hôpital se foutrait la charité de pleine figue écarlatée de rire.

Mon rôle, ma place, par ici, celle d'un humble membre, tout heureux d'avoir grâce à son traitement baclofène pleinement survécu à sa maladie d'alcoolo dépendance.
Alors qu'en 2012 il était condamné à une espérance de vie médicale très réduite, limitée. Cependant même sobre, serais-je Grand Pa un jour? That is my question ;-)

En devenir de retrouver désormais, devenu sobre, pas abstinent, toutes capacités à atteindre mes humbles objectifs humains.
Pour les objectifs éco et matériels je n'ai jamais été très fortiche ;-) ni trop motivé. Mais ...

A 10 cachetons/jour, j'en parlerai bientôt avec super doc.Pr suis ptêtre parfois un peut lége pour le moment.
Mais, pas si certain cependant que ce palier ne soit pas le bon pour le momen,t? En tout cas, pas de retour de crave évident, de crise, à l'horizon.
Juste, l'été revenue, l'envie parfois d'une bière, max 3. Est-ce si grave docteur?
Par ceux qui craignent de me voir replonger apparemment oui. Dois-je, hypocritement boire raisonnablement hors de portée de leurs mires?

Bref, chutaaaaa, le baclo nous fait nous poser de nouvelles questions existentielles.
Comme si, depuis l'enfance, mon existence n'était pas devenue pur existentialisme (parfois chiant pour les autres, voir pour moi) souvent !!!

Stéphane

Ps :

Hello Steph J ai tente de faire en sorte, le mieux en fait, le plus a même que moi,

que j avais pense, et que c est pas vrai.

Des Reals bisous de moi pout toi, cher !

Loulou,

Merci de ton passage, je me pique le lien sur ton fil, pour ici, il m'en CHANTE, me RAVIVE d'espoirs nécessaires :

Magnifique
Ça donne des frissons ça fait du bien
Merci

rien. juste la vie qui continue. hors écran aussi.

Salut Stef, juste un coucou en passant.

Salut Stef,

Tu l'as senti venir, c'est le principal. Trop rapide en descente, trop sûr de toi ? Me souviens qu'on avait brièvement échangé là-dessus.
Courage, tu ne repars pas de zéro, tu t'adaptes et ça tu sais faire

Bises Stef

Calou, viens de te répondre sur ton fil.
Suite à notre parallélisme foromesque, ça n'arrive pas qu'ici (fort heureusement).

Stef,

Je reviens te voir sur la pointe des pieds mais tu me connais je vais être franc aussi ;-)

Le fait de vouloir boire une a 3 bieres a mes yeux n'est pas non plus crime contre ton alcoolisme et tu connais aussi le risque de rechute, le déni ou pas. Reste quand même vigilant pour que cela ne ce reproduise pas. C'est en cela que ceux qui ont peur ne veulent pas revoir, ce qui est plutôt une bienveillance de leurs parts qu'un jugement, tu ne seras pas persona non grata pour autant .

Alors pourquoi te dire, je vais boire en cachette?

Ce serait la chose la plus conne a faire!!! Laisser le doute s’installer? encore une fois????
Tu es bien dans tes baskets?

Alors montre que tu n'as pas a te justifier et reste sur tes gardes quand même

* ici je suis moi, ni rôle, ni place

Coucou STEF

l'ami de toutes les sensibilités

je te suis discrètement

mais ça ne veut pas dire que je te piste

des bisous et puis c'est tout, l'ami

Stéphane, soit je suis à côté de la plaque, soit tu as peur de replonger.
Et si tu as des doutes, j'aurais tendance à dire il n'y a pas de fumée sans feu ..

Bref, parles en en toute franchise à ton médecin.
Ne minimise pas, ne cache rien, sinon il ne pourra pas t'aider

Coucou Stephane

Avec 100mg de Baclo t'as le droit de boire 1 à 3 bières de temps en temps , non ?

Mais comme dit Sylvie , si ça te pose problème, parles en à ton doc !
Mais moi, je n'y vois aucun problème !

Te bise fort

Mimi

Bonsoir à toutes et tous,

Mimi, comme je viens de te l'écrire en MP, merci d'effacer rapidement le nom de mon prescripteur de ton post.
Ceci est une information d'ordre privée et non publique !!!

Sylvie, merci.

Il est bien évident que les retours d'appétences répétés à l'alcool, pas forcement des cravings pour le moment, ne peuvent être efficacement traitées que par une augmentation dans la posologie. Il ne s'agit pas pour moi, pour nous toutes et tous, de mettre en péril tous mes acquis positifs réels face à ma maladie d'alcoolo dépendance, avoir connu par deux fois et durablement l'indifférence à l'alcool, être en capacité sans manque de ne pas consommer pendant plusieurs semaines par manque d'envie, en s'obstinant à vouloir baisser mon traitement baclofène trop précocement et rapidement. Le 0 baclo, j'en suis désormais persuadé à raison et suite à deux ans d'expériences de traitement, ne me sera possible et réaliste que si mon organisme, mon esprit, acquièrent la capacité sereine de se caler vers une abstinence quasi totale et durable à l'alcool. Merci, Alain, tu m'auras éclairé, souvent. Pour le moment cela m'est clairement impossible, l'abstinence à l'alcool !!! J'ai, bêtement, baisse trop rapide et précoce, perdu ma si belle, Zeus que je m'y sentais bien, fier, noble et beau, mon indifférence à l'alcool. Cependant, j'ai eu la chance de ne pas replonger très bas. Si, par absurdité, j'étais passé au 0 baclo, coup de tête, coup de folie, je serai certainement en train de réaliser ma 4éme cure en centre d'alcoologie aujourd'hui. Donc, ma dose seuil, d'indifférence et acceptable pour mon organisme se situe entre 120 à 180 mg de baclofène par jour (pour les plus curieu(ses)x il vous suffit de lire mon fil, entre les lignes, certains de mes post ou réponses reçues peuvent être zappés, pour comprendre mon parcours parfois de traviole de baclé afin d'essayer de ne pas répéter mes échecs et rapidités parfois risquées à descendre trop vite). NOP, Mimi, tant que je n'ai pas retrouvé ma belle indifférence face à l'alcool, 1 à 3 bière, surtout seul, me sont auto interdites par principe de protection !!! Même si, depuis bientôt presque 2 ans, il m'a été impossible, je me l'interdit, sans jamais de difficultés particulières, j'en ai fais un principe fondamental associé à la réussite de mon traitement, d'ingurgiter un liquide alcoolisé au delà de 16 volts au tirage. Certaines personnes, cela doit être le cas pour nous tous, ne comprennent même pas comment mon organisme à pu survivre à des charges d'alcool si massives, répétées au quotidien, pendant des années.
Moi non plus ;-)

Sylvie, tu ne me sembles, à chacun de tes post, jamais à côté de la plaque sur les pertinences (baclo, maladie d'alcoolo dépendance) de tes réponses. ça me semble juste, parmi tant d'autres qui le pensent également, de te le confirmer.

Yves, Bidi, toutes celles et ceux qui œuvrent, parfois en mode fourmi ouvrière dévouées à servir notre cause (humaine et médicale) de guérison commune, méritent un énorme Respect collectif et personnel partagé !!! En gardant tous yeux grands ouverts et critiques si nécessaire parfois cependant ;-)

J'ai la chance, merci au traitement baclofène, à Monsieur Olivier Ameisen, à ce forum, à moi même d'avoir décider de VIVRE pleinement en accord possibles avec mes humbles mesures et non plus survivre minablement, tristement, si dépendant et pas que de l'alcool, d'être un rescapé évident et joyeux désormais d'exister, parmi vous autres, les autres absent(e)s par ici, de ma maladie d'alcoolo dépendance.

Spontanément, je vous embrasse, celles et ceux qui liront cet humble post d'un témoignage sincère parmi tous les autres sur ce forum,

Stéphane

Ps1+2 (réunis) musicaux :





Ps3 (un fil qui mérite une place spéciale sur ce forum ...) : http://baclofene.com/index.php?p=topic&t_id=5182

Zounette. Célestin => dont je découvre tardivement toute l'étendue de tes bienfaits intelligents et mures par ici. Je vous avais spontanément oublié de citer. Désolé, car, réalistement, vous faites également part et corps à cette belle dream team active du forum, parmi les autres.

Salut Stéphane

"tant que je n'ai pas retrouvé ma belle indifférence face à l'alcool, 1 à 3 bière, surtout seul, me sont auto interdites par principe de protection !!!"

Si évidemment tu sens que tu prends un risque à consommer quelques bières tant que tu n'auras pas retrouver ton indifférence, fais le choix du 0 alcool

Après tu auras tout le temps de gérer calmement ta descente

Bien à toi

Ps' : il me semble, parfois, pertinent, de se poser une simple question :

pourquoi continuer à consommer de l'alcool, parfois jusqu'à une forme, désormais modérée (le baclofène à accompli son oeuvre), "d'abus" vraiment plus nécessaire?

A chacun(e) sa réponse ;-)

La mienne, de réponse, m'agace !!! Elle m'offre la réalité objective de constater, que malgré la baclofène, le Rubicon n'aura été franchi qu'à pas ralentis pour le moment ;-)
Alors, que, mes objectifs, vitaux, ont toujours été une liberté personnelle, en assumant totalement mes responsabilités, la plus totale possible !!!
Enfin, merci le baclofène, désencasarné le mieux et durablement possible, de mes natures innées si addictives parfois.

Y suis-je?, ou pas?, THAT IS MY QUESTION ;-)

Quand, j'attendrai mon Graal, humain et spirituel, à pleines dents expertes et sans mordre, il est fort probable que l'indifférence totale, l'abstinence?, à l'alcool, au reste, me deviendra aisée !!!

Ps4

De la haute COMÉDIE :-)))) L'humour, bien enrobée, fine, magique, les rires, comme tant d'autres, m'ont préservé du désastre annoncé, d'un désarroi fatal en cours ;-) :



3 réponses, afin de se décider à Être ou ne pas être ;-)

Lapsus, révélateur, "L'humour, bien enrobée, fine, magique," dans mes écrits du soir, féminisé(e)s d'Inspirations que m'offrent certaines Femmes, qui prouvent que pour moi l'humour est fortement asexué, non pas un mot masculin, mais voir féminin ;-) la chance, d'avoir rit aux éclats partagés joyeusement auprès de Femmes douées d'humour? La beauté, n'est nécessairement et fortement pas que physique. L'âme, l'esprit, l'humour, composent une couche supérieure, essentiel, préservée des superflus, chez tous individus. Je vais continuer à écrire, ailleurs, arrêter de boire, mes quelques bières inutiles, en réfléchissant à la répartition, repartir, ça a été efficace, sur le mode répartition par imprégnation toutes les 2 heures, la plus prégnante pour mon organisme malade ...

A tantôt,

Stéphane

tu sais STEF

L'alcool est comme une fiancée
qui peut s'accrocher

à toi de gérer, maintenant que tu es entraîné
à l'outil, qui peut la tenir à distance

conso occasionnelle, à toi de voir


bizzzzzzzzzz

merci steph de ton passage par chez moi

et oui.... l'animation parle d'elle

il a été dur de s'accrocher au jars dans la montée

et lui même de prendre son envol....

un sacré duo tu sais tous les deux

mais parfois difficile de ne pas glisser voire lâcher la cordelette

bise porte toi bien

Bonsoir à toutes et tous,

Après, mes baisses à l'arrache, de mon traitement baclofène, inappropriées, je vais tenter une "montée brutale" à 160mg, à partir de 120mg aujourd'hui, dès demain. En mode imprégnation, 5 prises. Merci Monsieur G, ça m'avait rattrapé, de haute volée, de retours d'envies d'appétences à l'alcool, il y'a peu.

J'étais inactif pro. Là, je re travaille à nouveau ...

Il vaut mieux, perdre, à nouveau, un gagne pain, que l'existence ;-)

J'y gagnerai, un ailleurs, forcement meilleurs !!!
OPTIMISTE, OPTIMISME.

Je ne pense pas que mon organisme puisse supporter, sous peines d’effets indésirables insupportables, plus de 200mg/jour de baclofène !
D'expérience. Revivre la folie confusionnelle mentale exacerbée, à 200mg de baclofène/jour, pire que sous les effets néfastes de l'alcool à outrance, m'éffrais !!! Je ne souhaite plus le reproduire. C'était flippant. En //, je ne souhaite plus perdre mon indépendance méritée, confirmée, plus l'indifférence malheureusement, grrrr, à l'alcool. Mais, LIBRE, face à l'alcool, je le suis enfin (re) devenu :-))))

Quand, je consume, beaucoup moins, en fréquence et quantité, j'en suis LIBRE, plus dépendant.
C'est un choix désormais. Plus une souffrance ultime dictée, merci le baclofène, par une maladie addictive mortelle.

L'alcool, n'est plus mon quotidien vital, calculé, nécessaire.
Revoir, ceu(lles)x qui portent encore cette maladie à outrance, me pousse à les guider humblement vers le traitement médical bacloféène.

JE NE SUIS PLUS DÉPENDANT FACE A L'ALCOOL.

Mais, je ne suis plus indifférent, tristement, bêtement à cause de mes assurances pas assez consolidées à l'époque envers mon traitement baclofène, face à l'alcool Je me pensais, naïvement, à tort, plus FORT face à l'alcool, grâce à mes 2 indifférences confirmées, pas dans une assez longue durée cependant. Monsieur G m'a confirmé, d'arguments sensés, que c'est une ineptie scientifique, qu'à 2 ans de traitement baclofène quasi révolus non demeurons des malades alcoolo dépendants pas plus à l'abri du retour des craving que les autres !!! Quand, nous baissons la garde.

[Le 0 baclo, sans l'effort, et sans effort pour nous, mérité, est certainement le fruit d'une très longue ABSTINENCE TOTALE face à l'alcool, pour mon organisme qui ne me permet pas d'aller au dela de 200mg/jour de baclofène. Donc, il me semble avoir également fourni beaucoup de mes efforts possibles face au traitement]

Un entre 2, actuellement !!!

Donc,((don't) Actes !!!
Matures, réalistes et sérieux.

Stéphane

Ps, musical

bonsoir stéphane

merci pour ton beau message
je te remercie

je vois que tu es toujours en hausse de baclo

je n ai pas tout lu ton fil chose a faire demain soir

bise moussette

merci pour ta musique

moussette

Cher Steffffff

Heureuse que tu te sois repris en mains !

Te bise

Salut Stef

Bien agréable de te lire de nouveau au combat. Descente rapide, montée rapide ... N'y a t il pas trop de vitesse dans tout cela ?
En tout cas vu tes analyses et tes solutions tu ne peux qu'y arriver et conserver cette liberté chèrement acquise !

Grosses bises Stef

Parole de Je Suis Bien: Jacques Brel

Et je n'aime plus personne
Et plus personne ne m'aime
On ne m'attend nulle part
Je n'attends que le hasard
Je suis bien
Au-dehors la nuit s'enroule
Tout autour de sa polaire
Au loin roucoule une foule
Plus méchante que vulgaire
Je suis bien...
Je m'invente des jardins
Écrasés de roses grises
Je brûle quelques églises
J'évapore quelques parfums
Je suis bien
J'effeuille mes anciens amants
Je mélange leurs prénoms
C'est drôle ils s'appellent tous Dupont
Les volcans que j'ai éteints
Je suis bien...
Je remonte la rivière
Du grand lit qui me vestibule
Un diamant tintinnabule
Au plus profond de mon verre
Je suis bien
Ma bougie fume ses éclairs
Un arbre pousse dans mon coeur
J'y va pendre les empêcheurs
Et je ne serai plus surnuméraire
Et je serai bien
Je repense à des insultes
A des ennemis anciens
Tout ça ne me fait plus rien
Est-ce que je deviendrais adulte
Ce serait bien
Je n'entends que mon coeur de pierre
Ce soir je ne ferai ni la fête
Ni la belle ni la bête
Même mes rides m'indiffèrent
Je suis bien
Et j'éteins
Je suis bien
Je suis malhonnête...

STEF,

ce texte de BREL me paraît un peu sombre

mais bon, ne faut il pas puiser dans toutes les

sources pour s'exprimer? (sur le moment)

heureusement, je sais que ta vision des choses

est plus diversifiée et plus gaie aussi

so long, t'embrasse

Bonne idée Hiette ....

pour toi Steph quelques notes :

Cette oeuvre, pas chef d'oeuvre, a du SENS !!!!!!!!
195 minutes, de réflexions, intimes, esthétiques, parfois, ça soulage efficacement ;-)

Le sens, mon SENS, d'EXISTENCE, ma foi, même si cruel au final, persiste t-il, ici, ainsi ? :

Pour visionner ce lien, il vous suffit de cliquer en bas à droite ... Quelle tristesse, pauvreté, voir savants calculs mercantiles calculés, ce monde virtuel !!!

Bonsoir à toutes et tous,

idéaliste :

Qui préconise l'une des formes de l'idéalisme philosophique.
Qui obéit à un idéal, qui croit à des valeurs absolues d'ordre moral, social, intellectuel, etc., pour améliorer la société ou l'homme : Être trop idéaliste et tourner le dos au réel.
Qui est attaché à l'idéalisme en art ou en littérature : Peintres idéalistes et réalistes.

Peut être, sur ce forum, le sommes nous, idéalistes, un peu toutes et tous? ;-)

A moins, que, nous soyons, de manière antinomique mais si complémentaire, très réalistes, à terme, des abysses sidérales vers lesquelles le (lapsus révélateur, la faute de genre?) molécule alcool pourrait nous plonger, malades, d'une maladie mortelle neuro biologique, que nous sommes, au point d'accepter, pour une grande majorité d'entre nous, de nous sauver l'existence, face à cette maladie, en nous soulageant efficacement grâce au traitement baclofène.

Des effets indésirables, j'en bouffe encore, parfois, en fin de journée principalement, voir avant (14 cachetons/jour).
Acouphènes (si j'ai bu la veille), voir même sobre depuis des jours, ES agréable de flottement du corps, de l'esprit, état de sérénité et zénitude, :-), qui revient depuis ma remonté vers ma dose seuil :-), et quelques très légères difficultés à la concentration prolongée, oublie des choses instantanée ou passées la veille (parfois il vaut mieux ;-) )

Brèfle, franchement pas à m'en plaindre, en comparaison des LOURDS ES dès lendemain d'alcoolisation à plus de 30 unités alcool.

Au début, naïvement, décembre 2012, première indifférence envers l'alcool, le baclofème me semblait capable de combattre également, au delà de sa forte efficacité anti craving bien réelle, la dépression nerveuse. Il la masque efficacement. L'état d'indifférence envers l'alcool, confirmé, bien réel, peut faussement nous laisser à penser que la dépression, profonde pour certain(e), est vaincue !

Que neni. Si, et surtout quand, elle revient, car, cette maladie psy, propre aux pays riches uniquement?, un luxe de nantis?, frappe parfois très fort !

Le baclofène n'est donc pas, le reméde, dans mon cas, adapté alors que je l'avais naïvement pensé.

Quand les AD (anti dépresseurs) ne fonctionnent efficacement pas non plus quelle voi(x)es médicale suivre?

Pour certain(e)s une Thérapie Comportementale Cognitive (TCC) couplée avec de l'EMDR ( http://www.emdr-france.org/) , pourraient former un couple qui GAGNE ;-) ? ...

Zeus, que certains parents ont finalement bien tort de laisser leurs enfants emprunts, imprégné(e)s, encasarné(e)s de mauvaises névroses ;-) Ils ne souhaitent, les enfants abandonnés, à l'âge adulte, qu'obtenir un Respect mérité. Si pas possible, grrrrrr ces parents égoïstes, abandonniques, adolescents, devenu(e)s eux même parents, méritants, digne, honnêtes, courageux, l'Amour sincère, mérité, partagé, que leur offrent leurs enfants, est amplement supérieur à une reconnaissance d'enfant souhaité, parvenu Homme blessé parfois ;-),

Ces enfants, devenus parents, aimants, aimés, Respectés, comprennent enfin toutes les raisons objectives de savoir comment se Respecter enfin ;-)

J'en parle, du thème de l'enfant abandonné, non pas de façon personnelle, mais par témoignage, pour celles et ceux à qui mes humbles et tristes mots vont causer, aider? peut être?, car, ce soir un Ami, très proche, m'a témoigné de ses souffrances de fils. J'essais, humblement, d'en témoigner ici. Pour lui, indirectement. Pas plus !!!! Plus de méprise ici, svp.

Stéphâme ;-)

L'idéaliste est finalement bien plus dangereux, pour l'establishment, que le psychopathe.

Car, quand i(ellle)l parvient à ses f(aims)ins humaines, rare(s)ment partagées par la masse, les changements, vitaux, nécessaires à ses yeux, arrivent enfin ;-) ça dérange, forcement, les pouvoirs, parfois arbitraires, en place ;-) Alors, à nouveau, e(il)lle peut danser, festoyer, s'amuser, pleinement :-) mais, pas avant d'avoir assouvi concrètement ses rêves et idéaux, humains !!!! Quel(le) casse couille, pour la majorité, est-i(elle)l ;-) cependant, parfois, à sa bonne place, certain(e)s apprennent à l'Aimer, le Respecter, le Comprendre :- ;-) plus simplement se railler, hypocritement, dans son dos ;-)

Steph, c'est sur qu'ici il y a beaucoup de gens hypersensibles, mais aussi certains qui n'ont pas cette "qualité/défaut", ne sont pas écorchés vifs, car l'alcoolisme touche vraiment dans toutes les catégories , sociales ou autres.
C'est d'ailleurs le vice de cette maladie. Pas besoin de s'être fait trahir, d'avoir subi toutes les injustices.

Je pense souvent à cette vision répandue de la larve alcoolo incapable d'efforts, à ceux qui considèrent que c'est un vice, ou une perversion, comme peut-être l'avons nous pensé "avant".

Le plus grand drame, c'est justement la facilité de replonger quand on a réussi à connaître l'indifférence, et au passage, la difficulté de reconquérir cette indifférence.

Allez, je tente une diversion:



Biz ami encore trop virtuel

martyr, martyre
nom
(bas latin martyr, du grec martus, -uros, témoin)
Définitions
Expressions
Homonymes
Difficultés
Citations

Personne qui a souffert la mort pour sa foi religieuse, pour une cause à laquelle elle se sacrifie : Les martyrs de la Résistance.
Chrétien mis à mort ou torturé en témoignage de sa foi. (On l'appelait aussi martyr de la foi ou confesseur [de la foi].)


Juste for fun. La définition, ici, du martyr ;-) que je ne suis pas !!! Sacré Zeus d'esprit de provocations, vital, qui m'aura sauvé l'existence, encore aujourd'hui, diverses et variées, saines, de mieux en mieux, mes provoc, face à la faucheuse, qui n'aura pas épargnée les miens les plus proches, histoire que la foudre, dans l'Espoir d'y survivre, tombe sur moi ;-) Fasciné par l'orage, sans aucunes peurs, toujours j'ai été !!!

De FOI, empli, d'Espoir, de les concrétiser durablement, en mon âme, OUI, mais point de religion en mon esprit, encore moins en mon corazon !!!!!!!!
La chance de n'avoir jamais "souffert" d'aucun rite religieux à la naissance et après ! Désolé pour les croyants religieux !
Dieu, est possiblement immense, mais il n'est pas unique !!!

Il peut exister entre autre, en nos âmes, Dame nature, la FORCE concrète des sciences, au delà de tous textes religieux !!!

Paroles blasphématoires de prime abord, pleinement assumées, intellectuellement dictées, fruit d'une longue réflexion concertée avec d'autres, des religieux également. Car, pour blasphémer en toute logique, il faut savoir côtoyer, aimer, se faire Aimer, Respecter, accords communs, d'Amitié par certain(e)s religieux de FOI. Et, paradoxalement peut être, nous nous Respectons, estimons, par FOI distincts interposées, beaucoup les un(e)s les autres !!!

Je Respecte, quand vous demeurez humbles et dignes, pas mécréants qui prie et qui tue ou spolie à la fois, votre foi religieuse.
Tant qu'elle ne vient pas empiéter sur mes LIBERTÉS !!! Mes libres arbitres !!! Ma FOI bien personnelle, non religieuse, laïque !!!

Respecter, l’altérite d'autrui, le droit à son libre arbitre, son droit aux biens être, semble parfois désormais, un luxe, un droit humain évident, qu'il faut affirmer et revendiquer, sous peine de faire croquer par plus méchant que soi ;-) Pures élucubrations, mais peut être pas le fruit d'une réflexion ojective, d'observance, hasardeuse collectivement? ;-)

Tant de névroses, absurdes, pour certain(e)s, conditionnées, régissent l'existence de tant d'individus méritants.
Alors, à quoi pas ne pas risquer, face à tant de malheurs, voir désespérances pour certain(e)s, quotidiennes, un ailleurs, bien MEILLEUR ???
Le manque de courage, la crainte de perdre, quoi?, au profit d'un mieux évident, criant, hurlant.

Bréfle, le COURAGE, est :

courage
nom masculin
(de cœur)
Définitions
Expressions
Synonymes
Citations

Fermeté, force de caractère qui permet d'affronter le danger, la souffrance, les revers, les circonstances difficiles : Avoir du courage.
Ardeur mise à entreprendre une tâche : Travailler avec courage.
Force, énergie et envie de faire une action quelconque : N'avoir pas le courage de se lever.

La racine, de ce mot, vient du mot corazon.
Forcement, de là, il me cause !!!

Du COURAGE, arrêtons, d'en manquer, nous en débordons de pouvoir et capacités, à mauvais escient, pour les mauvaises causes (culpabilisantes, que l'on souhaite, arbitrairement, ça en arrange certain(e)s, continuer à nous faire porter) !!!


Bréfle, cher Charles, j'étais revenu ici, pour pondre cette humble daube verbale ;-), te lis, puis reviens te répondre sur ton fil ...

et, donc,
depuis decembre 2012, tu es soigné ?
tu bois plus c'est ça ?
160 c'est ta dose seuil, et maintenant, ou en es tu ?
ce sont les infos de ta signature, mais tu ne parles jamais plus de ton traitement.
aujourd'hui ?

Veillant, il te suffit de me lire, entre les lignes ;-), ton discours est TROP FACILE, dixit Grand Jacques, merci pour ton message,
Merci de m’offrir, je revenai pour cet hymne, cette superbe perche, à la volée, débottée ;-)

Veillant,

Fuir, à nouveau, face aux questions, qui peuvent déranger, à l'existence, qui me perturbe encore souvent, la mienne, méritée, heureuse, mes lâchetés, passées, m’agacent et me questionnent désormais sur mon devenir... Mérité envers mes humbles hauteurs !

Donc, merci, pour tes réflexions, du statut d'avatar (libre), après humbles méditations cogitées, suite à ton post, celui de (En Devenir...) me parait plus réaliste et concret. Cela répond à tes questionnements me concernant?

Sinon, musicalement, symboliquement, la version Ibrahim Ferrer, hummmmm quel Artiste, ce sonero cubano, une autre réponse avec cet hymne archi repris pour tous les grands noms du genre :



Personne ne saura comment je souffre
Autant qu'il n'y a même pas de sanglots
Seul et tremblant d'anxiété
Tous me regardent et s'en vont

Femme, si tu avais une parole avec Dieu
Demande-lui si je n'ai jamais une fois
Cessé de t'adorer

Et à la mer, reflet de mon coeur
Ces instants qu'elle me vit pleurer
La perfidie de ton amour

Je te cherche partout où je vais
Sans te retrouver
À quoi ça sert à aimer tes baisers
Si tes lèvres se refusent à m'en donner

Et toi qui sais où tu iras
Qui sais quelles aventures tu vivras
Que tu es loin de moi!

ça répond à tes questions?

Enfin, ok, publiquement, entre nous ;-), sur ce fil, et sincèrement face à moi même, je suis enfin médicalement prêt à combattre cette lourde maladie de dépression nerveuse chronique, neuro bio, tout comme l'alcoolo dépendance, et de douloureuses circonstances affectives vécues, qui pèse sur mes lourdes paupières depuis l'enfance !!! C'est dit !!! Et enfin assumé. Compris. Pas maso le gars ;-)

Don't acte.

OUI, je traverse, navigue, à nouveau, avec la grande et humble maturité désormais, pas que médicale, de celui qui se connait de mieux en mieux, qui souhaite enfin atteindre à mérite ses objectifs humains, sans sacrifier tout le matériel, ne plus connaître la faim, une période, nécessaire, de salut?, à mon éclosion, de grave crise de dépression nerveuse profonde.

Page 56, dans le magazine littéraire, Hors série, numéro 1, penser méditer rêver, le titre m'a appelé ;-), 5,90€, "100 questions simples et philosophiques" il est écrit, titre 68 : "Comment se fait-il que des problèmes intérieurs insurmontables puissent parfois s'évanouir du jours au lendemain?" suis un article, les plus curieux peuvent me contacter, ou acheter ce fascicule intéressant.

Se chevauchent, classés par thèmes, 99 autres questions dans cette vulgarisation efficace des principales "questions simples philosophiques"

Juste, humblement, l'envie de partager ces pensées avec vous.

Stéphane