Et veillant qui découvre ce fil, quelle tarte..
je vois avec surprise que depuis quelque temps
apparaissent des profils téléguidés, venant avec la seule intention de défendre cette révolution commerciale, le sélincro.
mon cher vince, en quel honneur avez vous eu accès à ce médicament ?
vous n'êtes pas alcoolo dépendant !
or le nalméfène
«ne doit être initié uniquement chez les patients qui n’ont pas réussi, 2 semaines après l’évaluation initiale, à réduire leur consommation d’alcool malgré les conseils donnés.»
votre médecin a été bien téméraire, il était hors AMM, il devrait se risquer à prescrire le baclofene, il y a une RTU maintenant.
Que serait il arrivé si vous aviez fait un Effet Indésirable grave ?
et pour autant votre discours bien huilé, ne resiste pas au fait,
car malgré tous les beaux shémas qu'on a vu sur la plaquette de de Lündbeck, qu'on retrouve en partie sur l'article de wikipédia
(
les petites mains se sont mises au travail !)
il reste ceci :
D'après Prescrire, le nalméfène n'apporte pas de progrès thérapeutique par rapport à l'acamprosate ou à la naltrexone, traitement de référence.
Revue Prescrire, janvier 2014, tome 34, no 363, p. 6.
D'après la commission de la transparence de la Haute Autorité de santé, le service médical rendu (SMR) est modéré et l'amélioration de service médical rendu est mineure
http://www.has-sante.fr/portai...2-00-18_162.pdf
vous aviez d'ailleurs déjà eu une conclusion suffisante ici et bien sentie
mais il est bon d'en remettre une couche,
on s'en lassera pas !
vous êtes apparu sur ce forum le 06 mars, en êtes reparti le 09, pour ne parler que du sélincro,
un médicament qui ne vous était pas destiné, pour une maladie dont vous ne souffrez pas.
clap clap clap