Une condition primordiale : Rayer l'alcool de son cerveau, de ses habitudes... Oui, le baclo peut le faire, mais pour combien de temps ? Comment garder ce cap ? Ne pas baisser les bras en se laissant envoûter par un petit verre de trop occasionnel ? Le démon est là et l'appel du frigo oû la bouteille bien fraîche attend ... C'est dur, dur dans la longueur, dur parce que la vie peut-être éprouvante, et que l'idée de l'anti stress facile, est à portée de main, et que le baclo soigne l'envie, mais pas la volonté !! Il ne reste que les Psy ? En tout cas, les limites baissent car la prise de conscience est faite ... Parfois, il faut de nouveau se battre contre la culpabilité... Mais, peut importe, le chemin continue, et la lutte aussi. J'ajouterai juste avec une plus grande maitrise.... Je sais que je suis alcoolique, je sais que je bois trop, je sais que le baclo existe, j'ai pris le baclo, j'ai abandonné le baclo... Je ne bois plus de la même façon : je bois parfois toujours trop, mais je pense au baclo, je pense à ne pas boire ce verre de plus, et parfois j'y arrive. Le baclo, c'est la découverte de la liberté, on prend, on gagne,on prend pas, on perd, mais on sait qu'il existe une issue.<br />Et là , on y croit ...
La vie est mon amie ...