Salut Calista,

Tu es dans ta bulle?

Ce soir sur la 2 à 22h45 un reportage sur le sujet de la précocité
Le courage de grandir de Marie Drucker
Ca a l'air très bien ...

Jéjé

Oui, le plus important est d'être contente d'aller travailler, je l'ai vécu, j'essaie d'en tirer des conclusions mais impossible
C'était un tout

ça existe !

Calista, coucou

Merci Sylvie pour l'info,
Mais personnellement, au delà de devoir imposer cela à mon père (à sa TV branchée sur le front russe H24), je suis fatigué des HPI, etc...
Je me rends compte que j'en ai beaucoup beaucoup souffert et que le résultat est un foie pourri... Plus envie d'en entendre parler de tout cela.
Je suis cuit.
3ises bien franches,
Théo.

J'ai le sentiment qu'on peut distinguer deux sous catégories dans la catégorie des non-reconnus (= non-identifiés) dans l'enfance: ceux qui ont tracé leur chemin contre vents et marrées (dans de très grandes souffrances), et ceux qui au contraire, n'ont jamais décollé, allant de tentatives avortées en avortements de tentatives.
La résultante n'est pas très différente en terme de mal-être, de sentiment d'imposture, de méconnaissance de soi.

Je vais regarder!

THEO,

allez, on se secoue

faire l'autruche n'arrange rien

comprendre pourquoi on est différent ...

à toi de voir

Dommage que personne ne fasse de commentaire...

J'essaierai demain ... peut-être!

J'en fais
Mais pour tout dire "Le démon de mon coeur s'appelle "à quoi bon" "....

Je ne le sais que trop bien.
D'où mon fatalisme "russe" : le soldat se couche dans la neige et attends.

THEO,

âme slave ?

oui.

Je suis là



Souvent et j'aime beaucoup cela

Quand je dois écrire ici ça me prend un temps fou.

Alors je prends mon temps.

Ce fil devrait se focaliser sur ce que vivent les hypersensibles et sur la façon dont ils se sont construits.

(y compris la base des alcoolos dans les bistros dont parle Flo quand elle fait un coup de calcaire pour les intégrer aux grandes lignes que j'écris).

Je suis en train d'écrire sur ça. J'oscille entre un post et un livre pour le faire.

T'inquiète, perso, je sais où tu es, et pas dans un monde vert.

Oui, dans la bulle...
Mais quand la société et ses réalités s'imposent....
Moi 18 000 euros de saisies (trop compliqué à expliquer, mais c'est injuste et illégal).
Je ne sais pas ce que je suis; je sais juste où je ne suis pas : dans le troupeau. Et ce que je ne suis pas : un mouton.
Et très malheureux.

Théo, je pense que je peux te rejoindre à n'importe quel niveau de ce que tu me dis.

J'ai explosé toutes les dimensions concernant l'URSSAFF, la RSI aussi, le TGI, le tribunal de commerce ..du coup je me dis que le vrai du sujet n'est pas vraiment là. Je sais, j'ai pas su m'arrêter. J'arrive à vivre aujourd'hui en posant plein de limites (ça veut dire, pas toutes)

J'en parle jamais ici parce que cela parle en même temps de la même chose et à personne . Caro qui n'a aucune casserole dont on parle comprend ce que je dis.

Je te comprends à 100 %.

ben du coup je t'invite à te projeter avec moi vers l'extérieur.

On a raison mais on s'est beaucoup trompé sur les intentions des autres.

Exact.

Tu sais, il y a des moments où l'on partage le même silence.

Un silence extrêmement bruyant pour celui/celle qui le vit

Exact.......

Du coup quand il r(é)aisonne si fort, j'ai décidé de ne plus m'arrêter de parler au cas où je rencontrais celui qui m'avais tenu en respect.

Le silence ou qqn qui te tient en respect ?

C'est les deux.

Je me méfie autant de celui qui pourrait encore faire cela sur moi et de moi qui continuerait à tendre mon cul pour le faire.

Coucou,

C'est vrai que le silence soudain est très bruyant.
Je confirme.

Yann

Hier, j'étais dans le silence,
un boucan d'enfer dans ma tête,
des idées en boucles,
toujours crescendo,
et pas de bouton off

De silence il n'y aura jamais pour nous,
du calme en revanche, ou de l'apaisement...

Je ne parlais pas de ce silence-là.

L'un comme l'autre, de silences, nous font crever; soit par la tête qui explose (je connais trop bien karo) ou par le silence partagé de deux êtres seuls qui se comprennent par des sourires...

Je ne parlais pas non plus de ces deux silences là.

Oui, celui-ci aussi fait mal....

Oui. Il se nomme indifférence, ou encore intérêt bien compris.

oui....

Allez y les gars.

Calista, tu as pas compris ce que yann disait... rien contre ce que tu disais

Coucou Calista,

Pas de méprise, ce que j'ai écris ne te concerne ni toi, ni ce que tu as écris récemment sur ce fil.
En aucune façon.

Bises

J'ai pas compris .

Bonjour,
Si cela peut rencontrer les préoccupations et les recherches de certain(e)s, voici un lien :
Cogito'z - Douance
Je connais (un peu) bien Jeanne Siaud-Facchin et Cogito'z, qu' elle a fondé; et Zebra, dans la foulée.
Je partagerai ce que je sais, par mp (ou en public) avec grand plaisir, et avec le pus grand intérêt, y compris en souhaitant faire progresser ma propre situation familiale.
Bonne journée à chacun et à chacune.
Marie-Pierre.

Névrosés, je vous salue !

Parce que vous voyez de la sensibilité dans l'insensibilité du monde, et de l'incertitude dans ses certitudes
Parce que souvent vous sentez les autres aussi bien que vous même
Parce que vous ressentez l'anxiété du monde tout comme sa prétention et son étroitesse sans fin
Soyez salués
Pour la phobie de laver la saleté du monde de vos mains
Pour votre peur d'être enfermés dans les limitations du monde et pour votre crainte de l'absurdité de l’existence
Pour la délicatesse que vous avez de ne pas dire aux autres ce que vous voyez en eux
Pour votre maladresse à négocier avec les choses pratiques et pour votre sens pratique à négocier avec des choses abstraites et inconnues
Pour votre réalisme transcendantal et pour votre manque de réalisme quotidien
Pour votre gout de l'exclusivité et pour la peur de perdre vos amis intimes
Pour votre créativité et votre extase
Pour votre mésadaptation à ce qui est et votre adaptation à ce qui devrait être
Pour vos habiletés grandes mais inutilisées
(...)
Pour le fait que vous vous laissiez "traiter" au lieu de traiter les autres
Pour votre pouvoir céleste sans cesse réprimé par la force brutale
Pour ce qui est prescient, non dit et infini en vous
Pour la solitude et l'étrangeté de vos manières d'être
Je vous salue !

Kazimierz DÄ…browski, Be Greeted, Psychoneurotics ! Traduction de Guy Corneau

Dabrowski - La théorie de la désintégration positive = https://www.adulte-surdoue.org...tive-dabrowski/
Dabrowski - Le WiQI des surdoués, zèbres et autres HQI = http://wiki.zebras-crossing.or...icles:dabrowski


Enjoy ;-)

Joli!

"Les grands esprits se rencontrent" ?

A quelques mois près...

Le névrosé prouve qu'un reste d'Humanité habite le Monde.

Je crois que c'est le moment de dire bonjour.
Salut Manue

C'est pour çà que tu voulais que je t'appelle, Marie-Pierre ?

Non, non, pas de souci dans ce domaine. C' était juste pour la fondue.

. . . et pour la marmotte . . . j' avoue, tout, Votre Honneur.

Bon, j'ai commencé à lire, première page, whaooo, y a du boulot et comme tout le monde, je manque de temps mais... Ce genre de discussion me parait + que nécessaire sur un forum dont les membres cherchent à éteindre l addict en eux. À bientôt (j'espère ?)

Trouver son chemin, ouvrir les yeux, accepter la personne que l'on est vraiment...

Merci BB pour ce message.

Merci d'avoir fait remonter ce fil que je ne connaissais pas, je vais le lire attentivement.

Je m'intéresse à cette thématique depuis que mon fils de 6 ans a été détecté à "haut potentiel" il y a 6 mois.
En effet, je crois aussi que ce n'est pas un cadeau malgré toutes les représentations que cela peut susciter.

J'essaie de l'accompagner au mieux au quotidien, l'explosion de ses émotions, son hypersensibilité, le mal-être des autres qu'il ressent comme si c'était le sien, son souci de perfection, de vouloir tout faire seul malgré son jeune âge, les signes d'anxiété que je perçois, sa place dans la fratrie alors qu'il est le plus jeune... c'est compliqué.

Je me pose beaucoup de questions, sur sa manière de fonctionner, sur ma posture envers lui, et par ricochet sur ma propre manière de fonctionner.

Je m'informe comme je peux, en tant que maman je voudrais qu'il s'épanouisse, quelle que soit sa "différence", c'est ce que l'on souhaite toutes et tous à ses enfants.

Je suis sans doute un peu hors sujet concernant la thématique précise de ce fil, peut-être pas tant que ça... les mots me sont venus, particularité de l'insomnie.

BB, je ne pense pas t' apprendre quelque chose. Un grand nombre de personnes vulnérables aux addictions ont un "substrat" HPI.
Savoir qu' on a cette "caractéristique" n' est pas inutile et donne certains éclairages. Cependant, cela ne résout pas grand chose. Expérience vécue; pour mon plus jeune fils, et pour moi.
Je t' embrasse, bien-sûr,
Mie.

Julie,

"La" spécialiste française de ce sujet est Jeanne Siaud-Facchin. Auteur de référence, sur la douance des enfants, et des adultes. Tu dois déjà en avoir connaissance.
Elle a fondé un réseau de psychologues cliniciens, sous le nom "Cogito' Z",
et une structure "scolaire" adaptée, à Marseille: "Zebra". Mon plus jeune fils a expérimenté les deux.
Tu trouveras beaucoup de renseignements sur internet. Il se trouve que je l' ai connue à titre personnel, durant mes études.

Il y a également un psychiatre réputé spécialisé et qualifié, qui exerce à Lyon: Dr Olivier Revol. C' est aussi quelqu' un que je connais, faisant partie d' un groupe de relations du père de nos enfants. Il y a également des publications sur internet, sous son nom.

Je ne te fais pas de recommandation; nous-mêmes, et différentes familles de notre entourage familial et amical, n' avons pas eu, ni avec l' un ni avec l' autre, d' expérience concluante. Et dépensé beaucoup de temps et d' argent. Au moins, cela te donne, si tu ne les avais pas, quelques ressources documentaires.

Bonne continuation, pour tout,
bises,
Marie-Pierre.


Les canadiens, comme en tout domaine pédagogique (psycho-pédagogique) sont très au fait, dans ce domaine; le terme "douance" vient du Québec.

Merci beaucoup, Marie-Pierre, pour ces informations et références que je ne manquerais pas d'explorer.

En effet, j'ai fait des recherches sur le net mais j'imagine bien que toutes le sources ne se valent pas.

Un membre m'a également indiqué un site intéressant, je reçois des articles régulièrement.

Le "diagnostique" posé on se retrouve un peu démuni.
La psychologue habilitée remet son compte rendu des résultats, indique qu'il serait bon de prendre rdv au mois d'octobre chaque année avec l'enseignant pour l'en informer et qu'il est possible de lui envoyer un mail en cas de problème durant la scolarité. Ok. Et... rien.

Pas de "billes" données, de chemins à emprunter, de conseils éclairés pour un accompagnement le plus adéquat possible au regard de particularités, des spécificités de mon enfant.

On se débrouille, comme on peut.

Merci encore pour tout.

De rien, Julie, merci de rien.

Arès beaucoup d' années, j' ai fini par conclure, même si cela semble superficiel et binaire, qu' il y a "2" "catégories" d' enfants précoces:
- ceux qui adhèrent au système scolaire, et qui y brillent, avides de connaissances et heureux de leurs résultats
- ceux à qui cela ne convient pas, parce qu' ils s' ennuient et ont des rêves "ailleurs"; dans le domaine artistique, par exemple.

Il existe aussi un processus de "retrait", qui peut venir des camarades, ou des professeurs. Mon fils avait fini par ne plus jamais "lever le doigt".
Et à être le premier en "bêtises" et en blagues, pour être "populaire". Il y a parfaitement réussi; et il appartient à "ma" "catégorie" "n°2".

Le pire a été au Collège (privé). Au Lycée (public) nous avons eu l' attention et le soutien des professeurs et du proviseur. On a du, malgré tout, "lâcher l' affaire" en classe de première. Il ne "pouvait plus y aller", il en était malade, physiquement. Et il a eu son bac S, du fond de son lit. A l' âge "standard".

Maintenant, le corps enseignant est sensibilisé à ces questions, un peu plus qu' auparavant. Encore que . . . l' affaiblissement de la formation des enseignants, ces récentes années . . .

(dans les IUFM, "autrefois", il y avait des intervenants, qui ont pu être qualifiés de "pédagogistes" - j' ai en rencontré, dans ma propre formation, en Sciences de l' Education, à quarante ans - mais qui "volaient haut", et ce n' était pas si mal).

Nous, nous avons à la fois fait confiance à la vie, à notre fils, et essayé de l' étayer par des aides extérieures, supposées spécialisées. Il a 23 ans depuis 2 jours. Rien n' a fonctionné. Electron. Il est beau garçon, en bonne santé, il entretient ses rêves (ses illusions ? - mais comment faire ?), il est extrêmement sociable, il a depuis une année une amie qui est une amoureuse, une copine et une sœur.

Son frère aîné (26 ans depuis un mois) a le même "profil" "HPI". Mais lui s' est adapté à tous les cadres conventionnels. Prépa, grande Ecole de "management"; depuis plus d' un an en CDI à Luxembourg, dans le domaine qui l' attirait depuis longtemps. Avec ça, très sportif.

Va comprendre . . .

Ne te fais pas trop de souci. Etre attentive, ça suffit. Même s' il "faut" prévoir et anticiper, dit-on, c' est tôt, pour t' inquiéter.

J' ai un neveu diagnostiqué précoce dès ses 5 ans; lui, un véritable extra-terrestre. "Suivi", de près, aussi (ses parents ont de gros moyens et vivent à Paris). Même âge que mon plus jeune; on les a baptisés ensemble.

Ben, vaille que vaille, de ruptures en angoisses, d' établissements en thérapies; en vain; ça va bientôt le faire, quand même;

Continue à bien t' occuper de toi.
Je t' embrasse,
Marie-Pierre.

Oui, un grand MERCI Marie-Pierre, tout ce que tu m'apportes, c'est loin d'être "rien", bien au contraire.

Tu es soutenante et même apaisante.

Je vais suivre ton conseil, ne pas trop m'en faire, être attentive, une mère "suffisamment bonne".

Je ne souhaite pas entrer dans un "système parallèle", à part.
Pour l'instant (très/trop tôt pour le dire), j'ai la sensation qu'il se situe dans "ta" première catégorie.

Au temps T je me questionne sur comment l'accompagner à "gérer" ses émotions, trouver les mots justes afin qu'il se sente compris et reconnu, saisir (au sens de comprendre) ses réactions qui paraissent si disproportionnées (pour lui ce n'est pas "pas grave").

Bref intégrer et s'adapter à sa spécificité.

Je suis éducatrice de jeunes enfants, je suis sensible à l'impact de l'adulte sur le devenir de l'enfant. Les neurosciences ont apporté un éclairage certain à ce sujet (je n'ai pas pris le temps de visualiser en entier la vidéo postée sur ton fil, le début était déjà très intéressant).

Une occasion de plus de me mettre la pression ! (Faut pas je sais bien !!).

Merci encore.

Des bises, toutes spéciales, pour toi.

Ps : mes 2 garçons ont également 3 ans et 1 mois de différence . Merci, sincèrement, pour ton partage d'expérience.

Ps2 : j'aurais peut être dû écrire tout cela sur mon fil... désolée d'avoir un peu "polluée" celui-ci.

Julie,
où serait la pollution ? C' est un fil dédié à cela !
Oui, les recherches en sciences cognitives. Oups !!! Have a break ! (but don' t eat Kitkats).
Et "yes", "Winnicott" (mère "suffisamment bonne"). Tu l' es, c' est manifeste. Tranquillise-toi.

M.-P.

Vraiment c'est difficile d'exister comme ça, avec plus d'incertitudes intellectuellles que les autres, plus de questionnements,de contradictions et en plus en vase clos! Bises[/i]

merci petite et grande flo. Grande car tu offre tellement...

IL EST TRES BON CE FIL
merci CALISTA

en ce moment je suis au maxi du SM
ZEBRE aussi
plein d'émotion mais je pleure plus, émotion c'est aussi bien un sourire, des battement de coeur etc...

HP, je pense pas, malgré un bac en candidat libre, sans rien lire, à peine...
pourtant j'ai toujours des salle note, donc HP, je pense pas du tout
c'est pour cela que j'ai écris sans étude...
non je travaillais a mes 18ans
jamais lu de livre, même de force, je préférais le zéro et une raclé maison.

EN tout les cas, je suis hyper content, sa me pose de lire cela, tout ce FIL, je croyais devenir fou, me canaliser m'apporte tellement d'angoise, que la peau de mes main en pèle EN CE MOMENT.

En tout les cas sa ce fluidifie en ce moment, toujours du mal à parler en expliquant correctement, j'ai du mal à "contexter"
placer mes pensée dans un contexte, j'ai peur de parler car je trouve qu'il me faudrait des heures pour expliquer et
en fait non, je commence a mieux diriger mon flue, en parlant un petit peu chaque jours.

par exemple, je m'aperçois qu'avec Nathalie l'échange commence à être top, et mon amour monte en flêche envers elle
avec son bac littéraire, en +1 en fac de lettre à ANGER et +1 enfin quelque moi en psycho, bien elle arrive à avoir assez de mots pour me guider, sa me donne une force de ouf....
Je commence juste à la connaitre, mais ce n'est pas cela l'important, non, l'important est notre papotage, complicité

Je me coupe encore le cerveau avec les benzo, surtout pour pouvoir dormir, car mes cahier à note sentace, mon journal intime est de l'ordre de quelque pages par jours, afin d'éviter que mes pensée ce multiplie

voila un premier jet

aussi
CALISTA
MANUE
oui écrire un petit peu par jours , peu faire une construction longue mais surement sereine, mon cahier m'aide beaucoup
la psy aussi et vers 16 ans mes parent m'amenais chez la psy, puis 17 ans, mais flop

bisous

Je n'offre malheureusement plus grand chose, pour ne pas dire rien, Pitch.
Pourtant, l'envie est là et ne m'a jamais quittée.
D'ailleurs, tu me donnes une idée...
Ce qu'éventuellement je pourrais faire, un peu plus assidument, c'est servir de "guide" quand le besoin s'en fait sentir, comme ici.
Comme j'ai passé des heures et des heures sur le forum, depuis 2014, je connais pas mal les expériences de chacun et les fils où aller pour trouver tels ou tels renseignements.
Aussi, je pourrais peut-être indiquer les fils qui me semblent vraiment incontournables.
Pas ceux qui racontent une histoire personnelle mais ceux qui ont été créés afin que chacun y apporte sa petite contribution.
Je vais essayer de faire ça un de ces quatre.
Pas ici parce que ce serait hors sujet, mais sur mon fil puisque ça va forcément être très subjectif.

coucou
nos pensée ce son croisée hier soir, on va dire cette nuit, en relisant ce fil, je pensais à toi...
et parfois, je pense a toi, dans tes récit atypique, il y en a un qui m'aide en autre dans une situation particulière.

Nos pensée ce son croisé car je voulais écrire encore, et aussi encore dans le spontané, j'ai noté sur mon cahier pour que sa murisse mieux.

Je reviens sur ce que ta écris, c'est pas quantité qui compte, c'est ta pertinence...

Tu devrait effacer "pour ne pas dire RIEN"

Car quelques mots/fils bien placé dans un parcours, un mots/un texte bien placé, quand les personnes son à l'écoute aussi, SONT très important dans nos situation.
Et pour que tout cela tombe au bon moments pour les percevoir , pas facile je trouve.

Je trouve que c'est une très bonne idée de remonter les fils qui apporte , qui on apporter et qui apporterons UNE CONTRIBUTION
car il n'y a plus forcement à bâtir ce qui PEUT peaufine le Baclofène, car il y a déjà de quoi écrire un "ROMAN scientifique" DE 600 PAGES.

Mais pour moi par exemple,
pour moi elle son trop dispersé, ou je me sort pas encore assez les doigt du C..

à un de ces quatre alors

gros bisous