merci franck mais ce n'est que les prémices; la peur reste et restera tant que je serai sous cette maladie; ce qui me fait le plus peur c'est cette grenade (esperal) qui me met a l'ecart du monde comme l'alcool d'ailleurs.
Le plus dur ou le moins évident, c'est le fait que une bonne partie de ma vie a était tronqué par du faux;donc il n'est pas évident de ce dire que je vais redevenir normal,sans bouclier.
demain je vais voir mon doc; comme je l'ai dis auparavant no souci et vive cette démarche mais le fait de reprendre l'esperal pour mon bien etre et celui des gens que j'aiment me fait plaisir et en meme me ronge car pourquoi me mettre de coté (je ne compte pas les conneries faites de ma part et subies pour les autres).Surement pour ces raisons!!!
dans cette aventure que je me permets de partager avec vous, je me suis rendu compte que j'ai perdu le plus beau métier que j'ai eu la chance de faire (pompier)et le mal des autres me donnais une excuse pour de plus pour boire; hors service bien sur.
apres cela, je me suis dis et l'armée me l'a fait comprendre; que je n'avais plus ma place; donc dégage!!!
malgré ce coup de blues ,je ressent ce besoin de ne plus etre cette personne livide et inapte a la vie ; mon espoir est que tout s'arrange,quand meme je n'attend pas de miracle"tres peu pour moi lourde".
j'ai pris conscience de cela grace ou a cause d'un ultimatum; un de plus !!!
entre ceux de la santé ,de la famille et des amours .
donc demain je me force par amour et surtout par envie de changer et aussi par envie de ne pas perdre tout les efforts mis en oeuvre pour devenir le vrai moi.
