Bonjour,
et encore une fois, merci (s).
Je squatte un petit moment l' ordi de mon plus jeune fils, qui n' est que de passage, car depuis plusieurs semaines il n' habite plus avec moi, et s' implique dans un apprentissage qui lui prend beaucoup de temps. C' est très bien, ça. Et puis il vit avec sa fée (*), qui partageait un logement avec sa grande sœur, laquelle a emménagé avec son ami dans un appartement pour lequel ils ont eu l' opportunité d' emprunter pour un achat.
C' est très bien aussi, ça, que les deux moineaux vivent ensemble.
A court terme . . . car l' appartement en question, loué, doit être libéré fin Octobre. A cet moment-là , il était prévu qu' ils partent pour quelques mois à New York, en raison d' une période à l' étranger que la fée doit effectuer dans le cadre de sa formation en marketing-management commercial. C' est reporté à Janvier, si les conditions sanitaires là -bas, ici, entre frontières, en avion, etc. ...
Evidemment, concertations tous azimuts; les moineaux, l' Ecole de la belle, les parents. Et comme, pour le Covid, tout change au jour le jour, on est tous paumés. On attend, comme tant de personnes.
Quant à moi, perso, ça ne s' arrange pas . . . un peu à cause de tout cela.
4 semaines sans psychiatre; pas la force d' y aller, et les "entretiens" supposés thérapeutiques, mais sur le mode "café du commerce", ça commence à faire (à ne pas faire, plutôt). 8 ans que ça ne fait que décliner.
J' ai arrêté sur mon initiative, les 2 plus récents anti-dépresseurs, combinés, qu' elle m' avait prescrits (Cymbalta + Norset); aucun effet positif, et tout en mangeant frugalement et sainement (enfin, il me semble; je suis un peu informée . . .), je gonfle comme c' est pas possible.
Cette satanée aboulie (
aboulie: une définition parmi d' autres - désolée, je ne sais pas vous livrer mieux - ça, c' est le minimum, pour expliquer un peu aux personnes qui ne connaissent pas ce terme) .
Je reste fixée sur l' idée de récupérer mes données grâce à la réparation espérée du disque dur de mon ordinateur. Il y a tant d' archives "officielles" que je ne renonce pas. D' où, j' attends, et oui, Jean-Marie, ça va me coûter une (des) blinde (s).
Je vous quitte encore, temporairement,
en vous souhaitant le mieux,
je le sais, cela m' a été dit, que certains ont de la considération, même, de l' affection, de la peine, envers moi.
Et moi pour eux. Pour Elles.
D' après divers contacts, je sais que pour un grand nombre, ça va, ça vient. Le "pouvoir faire", cette capacité, cette forme de puissance, qui n' a pas pour origine la volonté seule, mais il en faut, de cette épice-là .
Je vous embrasse,
Marie-Pierre.
(*) "la fée", que j' évoque, que je dénomme (surnomme) ainsi, c' est qu' elle s' appelle Morgan (sans "e" - "à la bretonne", du fait de sa famille paternelle).
(*) les Morgane (avec un "e" au bout), je les aime tout autant.
(*) pareil pour les fées Julie.
(*) et tant que je suis dans les prénoms bretons: Yann, qui se décline au fil de l' âge, Yannick, Joan, Yannou, Yanaho . . . Pardon, "se décline", parole malheureuse, de ma part, qu' il ne faut pas interpréter, hein ?!!
Hou la la, je suis partie sur une pente glissante. Ne pas m' en vouloir.
Tous vos pseudos, et vos "vrais" prénoms, je les aime sans condition, comme vous-mêmes, du moins ce que j' en connais.
Quoique . . . le nom d' un train . . . c' est moyen;

. Bizz,
T. Merci d' être toujours là quand il faut.
(*) Et celles que je me suis donnée l' autorisation de "baptiser" (d' "affubler") d' un nom bien particulier (mais respectueux - et/ ou élogieux - dans mon idée) qui l' ont (l' a) accepté.